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mercredi 10 février 2010

Néolibéralisme (Wikipédia)

Le terme de néolibéralisme est aujourd'hui utilisé pour désigner un ensemble multidimentionnel d'analyses d'inspiration libérale ou supposées telles qui critiquent généralement le développement d'un important État-providence dans les pays développés après 1945 et l'accroissement des interventions publiques dans l'économie. Ces analyses défendent, au contraire, l'importance du marché selon des considérations qui vont de l'efficacité économique du marché à la liberté de l'individu, et recommandent de fortement restreindre les interventions étatiques dans l'activité économique. Le terme a une connotation péjorative et recouvre des analyses d'écoles très différentes. Son utilisation pour désigner cet ensemble d'analyses ne fait donc pas consensus. Il est couramment utilisé par les courants critiques du libéralisme contemporain, tandis que la plupart des analystes désignés par ce terme refusent de s'y reconnaître.

Adam Smith: La richesse des nations

Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations

Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations (en anglais, An Inquiry into the Nature and Causes of the Wealth of Nations), ou plus simplement la Richesse des nations, est le plus célèbre ouvrage d’Adam Smith. Publié en 1776, c’est le premier livre moderne d’économie.

Smith y expose son analyse sur l’origine de la prospérité récente de certains pays, comme l’Angleterre ou les Pays-Bas. Il développe des théories économiques sur la division du travail, le marché, la monnaie, la nature de la richesse, le « prix des marchandises en travail », les salaires, les profits et l’accumulation du capital. Il examine différents systèmes d’économie politique, en particulier le mercantilisme et la physiocratie. Il développe aussi l’idée d’un ordre naturel, le « système de liberté naturelle », résultant de l’intérêt individuel se résolvant en intérêt général par le jeu de la libre entreprise, de la libre concurrence et de la liberté des échanges.

mardi 9 février 2010

Répartition de la richesse (2)

1) Ce qui explique la richesse d’un pays ou sa pauvreté.


• Il y a des gens riches, nantis, et des gens pauvres ou démunis. C’est le même phénomène qui touche les pays, les sociétés.

A) Les règles du capitalisme :

Capitalisme : système économique qui repose sur la liberté d’investir. Le capital est la source première de l’enrichissement collectif. Ceux qui possèdent des capitaux ont la liberté de les investir là ou ils jugent que les rendements seront les meilleurs. L’état ou le gouvernement doit le moins possible intervenir dans l’économie. On doit laisser les règles du marché fonctionner sans contraintes, le gouvernement n’a pas à faire des lois qui nuisent à la liberté d’entreprendre. Ex : salaire minimum, régie du loyer.

Les capitalistes investissent dans des moyens de production; commerces, usines, bateaux, immeubles de location, ces investissement rapportent des revenus qui sont le salaire du capital. On pourrait dire que le capital travaille à la place de la personne qui le possède.

On dit aussi que dans le capitalisme le travail et le capital appartiennent chacun à un groupe social différent. Les capitalistes possèdent les usines et les commerces et les travailleurs qui sont embauchés par les capitalistes en échange d’un salaire sont ceux qui produisent et transforment les ressources en richesse.

Il y a de petits capitalistes et des grands, les véritables capitalistes sont ceux qui arrivent à tirer suffisamment de revenu de leurs investissements pour en vivre et en très bien vivre. Certains travailleurs possèdent des capitaux, ils ont des actions, des propriétés à revenu, ils tirent une partie de leur revenu total de ces investissements.
Celui qui reçoit un salaire en échange de son travail est un salarié ou un ouvrier, en général le salaire est fixé en partie à cause de la loi de l’offre et de la demande. Lorsque l’offre de service est rare pour un métier le salaire est élevé.

La loi du marché


La principale loi du système capitaliste est la loi de l’offre et de la demande ou la loi du marché.
Le marché fixe le prix des biens et services et aussi les salaires.

Un peu de vocabulaire

Offre : Quantité de produits mise en vente par les fabricants, les marchands, ou quantité de services offerte par les ouvriers, les employés
ou, l'offre d'un bien ou d’un service est la quantité de ce produit offert à la vente par les vendeurs ou les producteurs pour un prix donné.

Demande : Quantité de produits ou de services demandée par les acheteurs, ou La demande est la quantité d’un certain produit demandé par les acheteurs pour un prix donné.

Théorie : ou loi de l’offre et
loi de la demande

• lorsque le prix monte
o l'offre a tendance à augmenter : les producteurs sont incités à offrir plus
de bien, de nouveaux producteurs sont incités à s'installer, les détenteurs de
ce bien sont incités à s'en séparer.
o la demande a tendance à baisser : plus les prix sont élevés, moins les
acheteurs sont disposés à acheter.

• lorsque le prix baisse
o l'offre a tendance à baisser : Les producteurs sont moins incités à produire.
o la demande a tendance à augmenter : moins les prix sont élevés, plus
les acheteurs sont disposés à acheter.

Le prix des biens et des services est fixé par cette loi. Lorsqu’un produit, en économie on l’appelle un bien ou un service, est très en demande et que ceux qui le fabriquent arrivent difficilement à produire suffisamment pour répondre à la demande des consommateurs, ce biens devient rare et donc son prix augmente.
Dans ce cas la demande est plus forte que l’offre, il y a rareté donc le prix est à la hausse.

Normalement le ou les producteurs devraient augmenter l’offre, produire davantage pour satisfaire la demande. Si le pris du bien devient élevé, la demande aura tendance à baisser car les consommateurs ne peuvent plus acheter ce bien à ce prix là. Donc on peut dire que lorsque le prix d’un bien augmente la demande a tendance à baisser.

Cas contraire

Lorsque la production d’un bien est surabondante, il y a un surplus de ce bien sur le marché, l’offre dépasse la demande, le prix de ce bien aura tendance à baisser.
Ex : lorsque la récolte d’oranges est très grosse, il faut écouler la production, il faut stimuler la demande en baissant les prix. Les oranges seront vendues à un prix très bas. C’est le contraire de la situation de rareté, c’est l’abondance. Les consommateurs sont incités à en acheter, ils sont attirés par le prix.

Donc les prix des biens et des services est fixé par la loi de l’offre et de la demande, la loi du marché. Dans de nombreux cas, la loi du marché ne s’applique pas parfaitement car la situation économique n’est pas idéale ou les règles sont faussées par certains facteurs. Exemple : une situation de monopole, un seul producteur, dans ce cas, sans concurrence le producteur peut fixer le pris à sa guise. Les règles du marché ne s’appliquent pas.

B) Les années 60, l’État providence

L’état qui prend soin de sa population.

Au cours des années 60, la prospérité s’installe en Amérique, l’Europe se reconstruit. Les partis politiques qui prennent le pouvoir un peu partout dans le monde occidental, ont des politiques qui se basent sur la pensée de John Maynard Keynes. Cet économiste britannique, avait conseillé le président américain Franklin Roosevelt durant la crise économique des années trente pour trouver des solutions.

Selon Keynes, les états doivent intervenir dans l’économie, ils ont un rôle de régulateur, pour réduire les crises, ils ont aussi un rôle de répartiteur de la richesse. L’état doit recevoir des taxes et des impôts et les redonner en services à la population. (Éducation, service de santé)

Lors de la crise économique, les entreprises étaient en ralentissement, les consommateurs achetaient peu, l’économie tournait au ralentit et il y avait près de trente pourcent de gens au chômage.

Selon Keynes c’est à l’état au gouvernement à relancer l’économie en lançant de grands projets : barrages, ponts, routes, parcs nationaux, pour créer des emplois et relancer la consommation et donc la production dans les usines et donc l’embauche de travailleurs au chômage. Le gouvernement peut avoir les capitaux pour réaliser ces grands projets, il peut emprunter dans les banques. Il peut augmenter sa dette qu’il remboursera dans les prochaines années, lorsque le pays sera sorti de la crise et que les gens toucheront en très grand nombre des salaires. Ils paieront des taxes et des impôts et l’état remboursera sa dette, ses emprunts.

Au cours des années soixante, après la Seconde guerre mondiale, les idées de Keynes deviennent à la mode. Les gouvernements décident d’intervenir dans l’économie. Les partis politiques qui prennent le pouvoir ont une idéologie plus à gauche. Ils désirent d’offrir des services à la classe moyenne et aux plus démunis. Les riches sont en mesure de se donner ces services.

Durant les années soixante, le monde vit l’affrontement que nous nommons la Guerre froide. Le bloc capitaliste fait face au bloc communiste. Le bloc soviétique ou communiste fait sa propagande en affirmant être la patrie des ouvriers et des travailleurs, que les états communistes sont les états des travailleurs et qu’ils sont anticapitalistes. Les gouvernements du bloc capitalistes se devront d’offrir plus de services et de soins à l’ensemble de la population pour faire face entre autre à la propagande de Moscou. Il faut cesser de donner qu’aux riches.

L’exemple du Québec est probant, le gouvernement de Jean Lesage décide d’intervenir dans l’économie, il désire aider les Québécois. Contrairement au gouvernement de Duplessis qui était au pouvoir de 1945 à 1960 et qui était favorable au laisser faire économique.

Le gouvernement Duplessis laissait les entreprises américaines exploiter les ressources naturelles du Québec, en plus le gouvernement n’assurait aucun service à la population. La santé, les hôpitaux, l’éducation étaient entre les mains des frères et des sœurs, les Communautés religieuses. Les Québécois devaient payer pour ces services. Duplessis était un conservateur économique, il ne voulait pas freiner les libertés des entreprises et leurs profits. En offrant aucun services à la population, les taxes et les impôts étaient très bas, donc les amis de Duplessis, les plus fortunés n’avaient pas à payer des impôts pour des services offerts aux plus pauvres.

En 1960, Lesage et l’Équipe du tonnerre, nationalisent les compagnies américaines d’électricité, pour créer ce qu’est aujourd’hui Hydro-Québec. Dans le domaine de la santé, le gouvernement créé l’assurance hospitalisation et pour l’éducation le MEQ et tout le réseau des polyvalentes, gratuites, mixtes et accessibles. Les impôts des plus nantis serviront à payer ces services. En plus Lesage facilite la syndicalisation des employés et ouvriers. En contradiction totale avec les politiques de Duplessis.

En Europe, au Canada et au Québec les gouvernements prennent des mesures pour aider la population, ce phénomène touche beaucoup moins les États-Unis. Ceux-ci sont en guerre ou dans une course constante aux armements (Guerre froide) ce qui draine l’argent du gouvernement et nuit à l’offre de service à la population. Ceci est encore en grande partie vraie aujourd’hui, le complexe militaro-industriel américain absorbe des milliards chaque année dans le budget de la défense; Irak, Afghanistan.

Au cours des années soixante-dix l’intervention de l’état se poursuit, au Québec, la Régie du logement, l’Assurance santé, la lois sur l’Assurance automobile, sont des politiques de l’état providence, l’état qui prend soin de sa population.

C) Les années 1980 à 2010,
le néolibéralisme.

Le retour de la
droite conservatrice au pouvoir.

Vers 1980 des partis politiques de droite accèdent au pouvoir en Angleterre et aux États-Unis, leurs chefs sont des néolibéraux en économie. Cette doctrine est le retour à l’esprit du capitalisme pur. Margaret Thatcher première ministre du Royaume-Uni et Ronald Reagan à la Maison blanche seront des chefs politiques qui réorienteront les idées économiques et politiques pour les trente années suivantes.

Pour ces politiciens qui sont proches des économistes néolibéraux, il ne faut jamais que l’état freine les intentions et les profits des capitalistes. Ces politiciens de droite et leurs descendants (Stephen Harper, Georges Bush, Jean Charest) croient que l’état doit se faire le plus petit possible pour ne pas nuire aux entreprises privées.

L’État ne doit pas offrir de services, si le privé peut le faire. Donc, à partir des années 1980 les gouvernements autant en Europe qu’en Amérique changent de politiques. Les gouvernements se mettent à privatiser certaines entreprises, on vend des sociétés d’état à des actionnaires privées ex : Air Canada, Pétro-Canada. On a même songé, vendre la Société des Alcools du Québec et même Hydro-Québec. Ces dernières idées reviennent encore régulièrement. Selon les néolibéraux l’état ne peut faire des profits avec des sociétés d’état, ces entreprises devraient êtres vendues au secteur privé, pour que des capitalistes en profitent. Ce qui est la règle de notre système économique.

Les gouvernements conservateurs en économie qui se succèdent réduisent la taille de l’état, congédie des fonctionnaires, donnent de plus en plus de contrats au privé. Comme dans le domaine de la santé, de plus en plus de soins sont offerts par des cliniques privées. Souvent les patients qui désirent se faire soigner sont forcés d’aller au privée, car les services dans les hôpitaux et dans les CLSC sont si réduits que les temps d’attente sont énormes et même dangereux.

Les économistes néolibéraux croient qu’il faut laisser les riches d’une société s’enrichir. Si ceux-ci s’enrichissent ils lanceront de nouvelles entreprises et accroitront la prospérité du pays. Reagan et les autres présidents républicains ont baissé les impôts des riches aux États-Unis massivement. En contrepartie ils ont donc aussi baissé les services à la population.

Exemple : l’administration Reagan (1980) enclencha la baisse des impôts la plus massive de toute l’histoire des États-Unis, le taux maximum passant de 70% à 28%. Ce qui veut dire que les plus riches qui payaient 70% d’impôts sur les plus hautes tranches de leur revenue (70% sur l’argent dépassant les 250 000$.) n’ont été imposé qu’à 28%.

Obama commence à démanteler l'héritage fiscal de Bush
Le président américain Barack Obama a commencé à démanteler l'héritage fiscal de George Bush en rétablissant les taux d'imposition les plus élevés appliqués aux revenus des ménages aisés et en supprimant nombre de niches fiscales utilisées par les entreprises.

Le Livre vert publié mardi par le département du Trésor a annoncé la restauration du taux maximal d'imposition sur le revenu à 39,6% pour les contribuables les plus riches, et à 36% pour les couples dont le revenu imposable dépasse 372 950 dollars. En contrepartie, ce document annonce des réductions d'impôts pour la classe moyenne, conformément à la promesse de campagne de M. Obama.
Ce cadeau, dont bénéficieront 95% des familles américaines, coûtera au total 736 milliards de dollars sur dix ans et permettra à un «couple type» d'économiser 800 dollars par an, a indiqué le Trésor dans un communiqué. Tiré du journal Le Devoir 11 mai 2009

D) Les éléments qui font la richesse et
le développement d’un pays.


Le Capital naturel :

• Il y a des pays qui possèdent de vastes richesses naturelles ou ressources, le Québec et le Canada en sont. Ils possèdent des richesses minières, énergétiques, forestières, agricoles, halieutiques, hydrauliques. Cette forme de richesse que l’on exploite ou que l’on exploitera se nomme capital naturel. L’étendue de son territoire favorise certains états. La Russie, les États-Unis sont des pays très favorisés par leur géographie et leur géologie, ils sont choyés, nantis, comparativement à bien d’autres. Ce capital est un élément qui pourrait servir grandement à enrichir la société qui y habite.

• On pourrait mentionner le Japon pays beaucoup moins nantis au niveau des ressources naturelles et de l’espace, mais également riche et développé.

• Parfois les pays qui possèdent peu de ressources naturelles sont devenus riches et très développés car ils ont été obligés de développer du savoir faire, de l’expertise pour être en mesure d’exporter certaines de leurs productions dans le but d’avoir la possibilité d’importer les ressources qui leur manquaient.

• Il y a des pays pauvres qui ont de grandes ressources naturelles. Parfois ces ressources dorment car le gouvernement en place n’a pas les capitaux ou le savoir faire pour en faire l’inventaire. Parfois ce sont des entreprises étrangères qui viennent faire l’inventaire des ressources d’un pays, dans l’intérêt de la compagnie bien-sûr. Le Québec et ses ressources hydrauliques, exploitées par des compagnies américaines de 1910 à 1962. Nous n’avions ni les capitaux, ni le savoir-faire pour harnacher nos rivières et produire de l’électricité.

• Parfois ces pays n’ont pas les capitaux pour être en mesure d’exploiter ces richesses. Parfois des entreprises étrangères viennent exploiter ces richesses naturelles sans trop laisser de revenus dans le pays. Durant des siècles, certains pays européens (métropoles) ont exploité les richesses de leurs colonies en y laissant le moins possible. On ne payait pas, ou très peu les ressources et en se servait de la main d’œuvre locale à peu près comme des esclaves. (ex : Amérindiens). Ce type d’exploitation coloniale existe encore de nos jours, on parle d’impérialisme économique de certains pays riches, sans se nommer colonialisme.

L’exploitation des pays pauvres se fait souvent avec la collaboration des gouvernements de ces pays qui collabore et reçoit sa part de bénéfices de l’exploitation de sa population. (penser à Maurice Duplessis au cours des années cinquante au Québec)



Le Capital financier:

• Ce qui fait aussi la richesse de certains pays comme l’Allemagne ou la France c’est que ces pays possèdent les capitaux pour mettre en exploitation leurs richesses. Il y a des personnes, des entreprises, des banques qui ont les capitaux pour mettre en branle l’exploitation de ces ressources.

• Certains pays ont accumulé d’immenses richesses financières et de toutes formes. Les pays européens qui furent des empires coloniaux ont pillé les richesses de continents pendant des siècles. Les États-Unis se sont immensément enrichis durant la Première et la Seconde guerre mondiale, des fortunes s’y sont constituées. Dans ces divers pays, des familles ont accumulés du capital sur des générations. Ces familles possèdent des capitaux dans des actions boursières, dans des obligations, des immeubles, des œuvres d’art et de l’or.

• Ces grands capitalistes ont été à la base du développement économique de leur pays. Ils ont financé l’exploitation des ressources naturelles pour ensuite investir dans le développement industriel. Aujourd’hui, ils sont présents par leurs capitaux un peu partout sur la planète. La Terre est devenue un champ d’investissement et de rendement.

• Le propre des pays pauvres, c’est entre autre de ne pas posséder de capitaux, de n’avoir pas de classe de gens suffisamment nantis pour lancer le développement du pays. Ils doivent attendre la venue de capitaux étrangers.

• Certains pays sont riches parce qu’ils possèdent de nombreuses entreprises dans d’autres pays et chaque année de très grosses sommes d’argent entre dans le pays comme dividendes ou comme profit à la maison mère de la compagnie. Exemple : Il y a de nombreuses entreprises américaines dans le monde. Ces entreprises rapportent des profits dans leur pays d’origine. Il n’y a pas que les exportations qui amènent des revenus dans un pays.

• Aussi les personnes qui possèdent des actions d’entreprises dans un autre pays, touchent des dividendes sur leurs actions. Si les entreprises dont-ils possèdent des actions sont à l’extérieur de leur pays ces entrées d’argent annuelles peuvent êtres importantes.


Le Capital techniques (savoir faire)

• Le Québec possède aussi des infrastructures; des centrales électriques, des ports, des voies ferrées, des usines, des sidérurgies, des lignes électriques qui permettent de produire de la richesse, de produire des biens, d’extraire les ressources et de les transformer. C’est le capital physique ou capital technique. Le Québec a commencé son industrialisation à la fin du XIXe siècle, avec des capitaux qui provenaient de l’Angleterre.

Le Capital humain : les ressources humaines

• Le Québec possède de plus une population suffisante pour constituer une main d’œuvre qui sert l’exploitation de ses ressources. On peut songer aux futurs problèmes démographiques, en lien avec la baisse de la natalité.

• Certains pays sont riches même si ils ont peu de ressources. Ce sont souvent leurs ressources humaines qui sont les véritables richesses de ces pays. La qualité de leur main d’œuvre est l’élément de création de la richesse pour ces pays. (Économie du savoir)

• Le Québec possède en plus les personnes qualifiées, instruites, il possède les infrastructures; écoles, collèges, universités, pour former sa population et augmenter sa productivité. Ses ressources humaines sont qualifiées.

• La pauvreté d’un pays peut venir aussi de sa forte population en lien avec ce que le pays réussi à produire.